L’agriculture urbaine avec Samuel Richer

Box de mini plants en précommande | pLutôt fleurs d'été ou infusions ? 🫖

Amateurs ou professionnels, l’agriculture urbaine rassemble les citoyens dans un mouvement responsable, d’échange et de loisir. Sur le podcast Le Cercle, la startup Ceercle et le collectif Mu’ethik sont partis à la rencontre de Samuel Richer, expert du domaine.

De formation horticole et agronome, Samuel est un véritable passionné de botanique et de végétal depuis plus de 10 ans. Anciennement encadrant maraîcher, il est aujourd’hui coordinateur technique pour l’association Aiden sur des Ateliers Chantiers d’Insertion spécialisés dans le maraîchage, le réemploi et les espaces verts. Il est également conseiller technique en agriculture pour l’association le Booster de Saint-Jean en pilotant le projet de L’îlot Vert. Ce dernier, avec l’aide de la Métropole de Lyon, met à disposition une friche urbaine de 4 000 m2 au cœur du quartier Saint-Jean à Villeurbanne. Le projet a un double objectif : accompagner les demandeurs d’emploi vers une reprise d’activité professionnelle durable et offrir au quartier un nouveau souffle grâce à des espaces d’agriculture locale et de composteurs de bio déchets.

L’agriculture urbaine en quelques mots

L’agriculture urbaine est LE sujet tendance en 2021. Il y a un engagement croissant des citadins pour un monde durable et responsable. Ils sont davantage sensibilisés au compostage, à la consommation locale, ils souhaitent mettre les mains dans la terre et même partager ces valeurs à leurs enfants.

Si l’agriculture urbaine n’a pas la prétention de nourrir les villes entières, elle a plusieurs objectifs :

  • Reconnecter les citadins à la nature
  • Favoriser la fraîcheur de certains plants (salades, aromatiques)
  • Alimenter les villes par des circuits courts
  • Favoriser la biodiversité

L’enjeu est de trouver l’équilibre idéal entre la place utilisée pour la culture, le nombre de personnes impliquées et les bénéficiaires directs. Il faut alors trouver une terre exploitable pour la culture de plantes hors sol, l’amender soi-même et l’enrichir en compost pour qu’elle soit propice à la production.

Pour se lancer dans le secteur « il faut avoir une palette diversifiée qui passe de la production, à l’accompagnement en passant par l’animation », affirme Samuel. Il faut mettre en avant les liens humains, l’aspect pédagogique et nourricier. Au-delà de l’exploitation, l’objectif est aussi (et surtout) de ramener la nature en ville, attirer et sensibiliser les citadins. Samuel met l’accent sur le partage et sur l’échange, notamment par le biais d’ateliers participatifs sur différents thèmes tels que le compostage. Une vraie communauté voit le jour !

Sensibiliser aujourd’hui est une priorité car demain, composter sera une obligation légale à l’horizon 2025 (LOI n°2015-992 du 17/08/2015). De nouveaux métiers verront alors le jour afin de former les citoyens : opérateurs de systèmes, conseillers ou encore animateurs des composteurs de quartier.

Les enjeux de l’agriculture urbaine ne sont pas seulement environnementaux, mais également sociaux en essayant, par exemple, de lever encore plus d’idées reçues : « Le maraîchage n’est ni un métier d’hommes, ni un métier de femmes, c’est un métier tout court » déclare Samuel.

Samuel Richer nous partage son expérience

L’agriculture urbaine est LE sujet tendance en 2021. Il y a un engagement croissant des citadins pour un monde durable et responsable. Ils sont davantage sensibilisés au compostage, à la consommation locale, ils souhaitent mettre les mains dans la terre et même partager ces valeurs à leurs enfants.

Si l’agriculture urbaine n’a pas la prétention de nourrir les villes entières, elle a plusieurs objectifs :

  • Reconnecter les citadins à la nature
  • Favoriser la fraîcheur de certains plants (salades, aromatiques)
  • Alimenter les villes par des circuits courts
  • Favoriser la biodiversité

L’enjeu est de trouver l’équilibre idéal entre la place utilisée pour la culture, le nombre de personnes impliquées et les bénéficiaires directs. Il faut alors trouver une terre exploitable pour la culture de plantes hors sol, l’amender soi-même et l’enrichir en compost pour qu’elle soit propice à la production.

Pour se lancer dans le secteur « il faut avoir une palette diversifiée qui passe de la production, à l’accompagnement en passant par l’animation », affirme Samuel. Il faut mettre en avant les liens humains, l’aspect pédagogique et nourricier. Au-delà de l’exploitation, l’objectif est aussi (et surtout) de ramener la nature en ville, attirer et sensibiliser les citadins. Samuel met l’accent sur le partage et sur l’échange, notamment par le biais d’ateliers participatifs sur différents thèmes tels que le compostage. Une vraie communauté voit le jour !

Sensibiliser aujourd’hui est une priorité car demain, composter sera une obligation légale à l’horizon 2025 (LOI n°2015-992 du 17/08/2015). De nouveaux métiers verront alors le jour afin de former les citoyens : opérateurs de systèmes, conseillers ou encore animateurs des composteurs de quartier.

Les enjeux de l’agriculture urbaine ne sont pas seulement environnementaux, mais également sociaux en essayant, par exemple, de lever encore plus d’idées reçues : « Le maraîchage n’est ni un métier d’hommes, ni un métier de femmes, c’est un métier tout court » déclare Samuel.

Podcast en partenariat avec Muethik. Muethik est un média indépendant qui s’intéresse aux mutations environnementales et sociétales.

🎙 🎧 Écouter le Podcast : « L’Agriculture urbaine pour ramener un peu de nature en ville » – Épisode #1 avec Samuel Richer

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